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5E À HORTA - ARRIVÉE DE ALISTER RICHARDSON (TQUILA)

Le Class40 Britannique Tquila d’Alister Richardson et Brian Thompson, a franchi la ligne d’arrivée de la première étape du Défi Atlantique 2023 à Horta, sur l’île de Faial aux Açores aujourd’hui, mercredi 12 avril à 15 heures, 45 minutes et 22 secondes locales, soit 17 heures, 45 minutes et 22 secondes heures françaises.


Il prend la cinquième place du classement général provisoire avant jury.

Il a parcouru les 2 223 miles du parcours théorique en 11 jours, 00 heures, 45 minutes et 22 secondes à la vitesse moyenne de 8,40 noeuds.


Mais compte-tenu des conditions météorologiques rencontrées et de la route suivie, il a en réalité parcouru 2 776 milles sur le fond, à 10,49 noeuds de moyenne.


Son écart avec le vainqueur Ian Lipinski (Crédit Mutuel) est de 1 jour, 00 heure et 46 minutes.

Pour rappel, le départ de la seconde étape Horta (Faial, Açores) / La Rochelle (Charente-Maritime) sera donné le dimanche 16 avril à 13h00 locales (15h00 heures françaises).


Alister Richardson:

« Nous sommes très heureux, honnêtement, car la nuit dernière encore nous étions 7ème, à cause de décisions que nous avons prises très tôt dans la course, et qui n’étaient pas terribles. Nous avions décidé de partir dans le Sud, ce qui nous paraissait une option intéressante. Nous ne voulions pas suivre les autres que nous savions plus rapides. On espérait rester ainsi dans le top 4. Mais le vent n’est pas rentré sur cette option sud comme nous l’espérions, donc on s’est concentré à préserver notre place, et à arrêter de perdre des milles. On n’a rien lâché, on a poussé fort, et hier soir, on a été récompensé en voyant que nous revenions sur Everial et Curium. Nous avons fait le plus de milles, 2 770 je crois, ce qui fait de nous les plus rapides (Rires), dans la mauvaise direction (Rires bis). Nous sommes aussi le premier bateau en double (Rires ter!). Plus sérieusement, à trois, les autres équipages pouvaient barrer mieux et plus longtemps. Nous avons dû nous familiariser avec le pilote automatique. Notre performance s’en est ressentie. Nous n’étions pas habitués à la vitesse de ce bateau, beaucoup plus véloce que notre précédent Class40. Là encore, il a fallu nous adapter. On eu quelques soucis avec nos ballasts qui fuyaient. Le support du moteur s’est brisé après la première nuit très mouvementée. Nos prédécesseurs étaient impressionnants. Très rapides. On a encore beaucoup à apprendre. On a aperçu les îles de plus 40 milles. C’est magnifique ici. »




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